Ce fut l'ambivalence d'un acre parfum puant de ce caractère hideux livide d'une sombre clarté spirituelle, maladive par les farces sadiques et malotrues. Ne va-t-il guère me lâcher cet aspic de poisse rompant autour de mon coup, crachant de son venin,empoisonné et maudit sur mon sort nanti de lignes suspendues...?
Ne va-t-il guère s'éloigner cet aspic.. Voulant m'anéantir me zigouiller Or me dépouiller... ?
J'ai beau croire pouvoir abolir ces partitions, les déblayer de mes souvenirs fugaces et brefs, qui furent bercés d'un lent soupire de regret, par une gamme mineure dont la tierce suffoquait de mélancolie.
Au temps d'hier écroulé, derechef, je fus proie vulnérable de ce jeu d'ironie irraisonnable riche en mensonges. Derechef, de leurs jurons obscènes je fus frappée, trahie de leurs tirades imbibées de ruse dont l’instinct rebelle de la vie leur avait appris durant une infinie d'actes de ce quiproquo... Comme j'ignore comment serait son dénouement...
De leurs interrogations rhétoriques et de leurs interjections inhumaines je fus visée... J'avais beau dansé; Or comme je l'ai fait en plein hymen et mariage de trahison et d'hypocrisie, j'ai tant souri à ces larrons de sérénité, à ces suborneurs quinteux... et sur les déchets de leurs saletés j'ai tellement patiné.
Ma conscience, mes pensées, sus oublier ces chansons de remords, sus voyager pour une vision lointaine, où seul ce crane et moi pourront paisiblement discuter...